Le Petit Paumé, célèbre guide étudiant des restaurants et autres lieux de divertissements lyonnais lui ayant adjugé son célèbre RPPP, et nos autres lieux d’aboirissage étant clos, nous avons opté pour La Mère Cottivet.
C’est un bouchon, ce qui implique moultes cochonnailles et autres gôneries comme le tablier de sapeur, les grattons, le beaujolais nouveau ou village, c’est selon.
À noter, un délicieux apéro éponyme, le Cottivet : crème de cerise, Kirsch, Jaja, servi avec un glaçonnet ou une mini-boulette de sorbet à la cerise… quoique cela pourrait en troubler la rougitude.
Ayant opté pour le menu du jour option sans viande, j’ai donc successivement apprécié un mille-feuille saumon-crêpe au sarrasin, puis une matelote aux 2 poissons.
C’était goûtu et délicat… À des années lumière de ce à quoi s’attendent les habitués de la cuisine beaujolaise.
Je ne peux donc à mon tour que recommander cet établissement où seule la créativité lyonnaise de la déco rivalise avec celle du cuistot.